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Témoignage de Vanessa

Vanessa, 28 ans, a témoigné lors de notre Assemblée Générale 2017. Retrouvez son témoignage ci-dessous.

"Je n'avais pas d'autre choix que de me battre"

« Je ne connaissais pas la leucémie, hormis le fait que c’est un cancer. Quand j’ai su que j’étais atteinte à 80 %, je savais juste qu’il fallait que je me batte pour voir grandir mes enfants. » Vanessa, une jeune Lyonnaise de 28 ans, a vaincu la maladie grâce à un don de moelle osseuse et un courage indéfectible. De la chambre stérile aux terrains de rugby en sport adapté, cette jeune maman guérie a apporté un témoignage poignant à l’assemblée générale du Défi Anthony. « On ne fait pas tout ça dans le vide. C’est tout le sens de nos défis, de pouvoir aider ceux qui en ont besoin. C’est magnifique », lui a répondu Claude Vernay, le père d’Anthony, emporté par la leucémie en 1998.

Article de Charlotte Rebet, Le Journal de Saône et Loire

Vanessa a mené le combat jusqu'à sa "renaissance"

Vanessa Gungor habite Pont-de-Chéruy (Isère). Présente à l'assemblée générale du Défi Anthony, elle a témoigné de sa rage de vaincre la leucémie.

C'est une jeune femme de 28 ans, épanouie professionnellement, mais aussi personnellement dans sa vie de famille, auprès de son mari et de ses deux enfants. Quand, il y a trois ans, on lui détecte une leucémie aiguë myéloblastique, c'est tout son monde qui s'écroule. Le choc du diagnostic est rapide et brutal : elle est atteinte à 80 %.

Vaincre ce mal et être plus forte que lui
Vanessa est alors placée dans une chambre stérile, séparée de toute sa famille. Elle n'a que 25 ans. Comment faire face à cette maladie qui la ronge, elle et tout son entourage ? À l'époque, ses enfants sont âgés de 4 ans et 1 an et demi. Vanessa choisit alors de se battre, pour sa famille. Vaincre ce mal et être plus forte que lui devient son seul objectif.

Son combat, elle le mène pour faire reconnaître sa maladie et avoir la prise en charge adéquate. Le service hématologie du professeur Mauricette Michallet, à Lyon sud, l'accompagne et la soutient jusqu'à sa guérison. Un accompagnement sans faille auquel elle dédie aujourd'hui sa vie.

Une greffe de moelle osseuse la sauve en 2014
Malgré la chimiothérapie, la maladie persiste. Son seul espoir de s'en sortir est une greffe de moelle osseuse. Sa « renaissance », comme elle la nomme, s'opère le 10 juillet 2014, avec le don de moelle osseuse que lui offre sa sœur, qui était compatible.

Aujourd'hui guérie, Vanessa profite au maximum de tous les instants et tous les petits bonheurs qu'elle peut récolter. Avec l'aide de l'association Leucémie Espoir 69, elle réadapte son corps blessé, physiquement et mentalement, à travers le sport en pratiquant le rugby féminin. Elle ne cessera de se battre, encore et encore. Pour elle, mais aussi pour les autres.

Article du Pays Roannais

Vanessa Grungor ou la rage de vaincre la leucémie

Vanessa Gungor est une jeune femme de 28 ans qui mène une vie simple et s'épanouit professionnellement et personnellement auprès de son mari et de ses deux enfants. Quand, il y a trois ans, on lui détecte une leucémie aiguë myéloblastique, son monde s'écroule. Le diagnostic est brutal, elle est atteinte à 80 %. À seulement 25 ans, la jeune maman est placée dans une chambre stérile, séparée de toute sa famille. Ses enfants sont âgés de 4 ans et 1 an et demi. Vanessa Gungor choisit de se battre pour sa famille. Vaincre et être plus forte que la leucémie devient son seul objectif. Son combat, elle le mène pour faire reconnaître sa maladie et être prise en charge. Le service hématologie du professeur Mauricette Michallet, du centre hospitalier Lyon Sud, l'accompagne et la soutient jusqu'à sa guérison. Un soutien sans faille auquel elle dédie aujourd'hui sa vie. Malgré la chimiothérapie, la maladie persiste, son seul espoir de guérison reste une greffe de moelle osseuse. "Sa renaissance" comme elle tient à en témoigner, arrive le 10 Juillet 2014, avec le don de moelle osseuse de sa soeur, compatible. Aujourd'hui guérie, Vanessa Gungor profite au maximum de tous les instants. Avec l'aide de l'association Leucémie espoir 69, elle réadapte son corps blessé, physiquement et mentalement, à travers le sport en pratiquant le rugby féminin. Elle ne cessera de se battre encore et encore pour elle, mais aussi pour les autres.

Article de La Renaissance